Haïti, entre mer et montagnes
Lors d’un jeudi jasette le 14 février dernier, La Marie Debout avait à titre d’invitée Mme. Guerda Amazan de la Maison d’Haïti. Cette activité avait lieu dans le cadre du Mois de l’Histoire des Noirs. J’ai beaucoup aimé et appris beaucoup de choses lors de cette rencontre. J’avais vaguement entendu parler de la Maison d’Haïti. Je ne connaissais pas grand-chose sur ce pays. Je ne savais même pas qu’il y avait des montagnes et je connaissais encore moins l’histoire de ce pays.
Je savais qu’il y avait eu la dictature pendant les années Duvalier. Le séisme de janvier 2010, ça j’en m’en souviens. Ce fût un terrible désastre qui a emporté 230,000 personnes, fait 300,000 blessés et fait des milliers de sans- abris. Je m’en souviens par les nouvelles à la télévision mais surtout par une collègue de travail à l’hôpital où je travaillais. Sa mère est décédée lors du tremblement de terre. Depuis ce jour, le pays a du mal à se relever.
Mme. Guerda Amazan, nous a parlé de l’Histoire d’Haïti. Elle nous a informé des luttes des femmes haïtiennes et des militantes féministes qui sont disparues lors du séisme. Tout cela était très émouvant. Elle nous a renseigné sur la mission et sur tout le travail qui se fait à la Maison d’Haïti.
Autrefois, Haïti était « La perle des Antilles ». Le peuple haïtien a beaucoup souffert et souffre encore. Aujourd’hui, le pays vit une grave crise humanitaire. Je leur souhaite pour leur avenir, le meilleur et que Haïti redevienne au fil du temps, « La perle des Antilles ».
De tout cœur avec vous.
Mon nom est Louise Miller, j'ai 67 ans. Je suis la mère de 2 grandes filles et la grand-mère de 3 petits enfants. Depuis quelques années je suis à la retraite après 35 ans de service dans le réseau de la santé. J'aime la nature surtout au printemps et j'adore la couleur dans les arbres l'automne. Je lis beaucoup, surtout les romans historiques et dans mes temps libres, j'écris différents textes, je fais cela depuis longtemps. Je suis très sociable, j'aime beaucoup rencontrer et discuter avec les gens.
Je suis désolée d’avoir manqué la rencontre. Bravo Louise pour ton texte c’est vraiment triste pour ce peuple.